Le Conseil d’État a examiné jeudi 19 juillet plusieurs recours contre l’abaissement à 80km/h de la limitation de vitesse sur les routes bidirectionnelles sans séparateur central.
Le matin c’était le recours déposé par 57 députés, escortés par l’Automobile Club des Avocats qui était examiné, tandis que l’après-midi, c’était au tour d’un particulier résidant du Gard, Paul de Metairy de passer devant la juridiction suprême. Celui ci, du haut de ses 76 printemps, a décidé en son nom propre mais « au nom de tous ceux qui n’ont pas forcément les connaissances juridiques pour mener une telle action » de porter le fer devant le Conseil d’Etat.
Les arguments apportés par Paul de Metairy rejoignent ceux de la FFMC :
- l’insuffisance de motivation de la mesure qui ne se base que sur des supputations pour affirmer qu’une telle baisse des vitesses permettrait d’améliorer l’insécurité routière.
- l’augmentation de la pollution liée au régime moteur insuffisant pour « passer la 5eme » lorsque l’on circule à 80km/h entraînant une hausse de la consommation d’essence
- l’augmentation du risque routier, en raison de la baisse de vigilance ou l’impossibilité de doubler les poids lourds,
- les préjudices financiers, liée à l’augmentation de la consommation d’essence (cf point 2) et à la perte de temps dans les transports,
- le risque de trouble à l’ordre public, lié au stress de devoir se trainer sur la route, l’impossibilité de dépasser, et l’augmentation des embouteillages qui en découle.
Du coup, la FFMC a décidé de soutenir sa démarche de citoyen engagé (voir le doc ci dessous) et était présente à ses côtés cet après midi.
Tout le développé de cette affaire est là
Le Conseil d’État doit maintenant statuer sur l’affaire, et la décision devrait être annoncée jeudi 26 juillet.
Le matin c’était le recours déposé par 57 députés, escortés par l’Automobile Club des Avocats qui était examiné, tandis que l’après-midi, c’était au tour d’un particulier résidant du Gard, Paul de Metairy de passer devant la juridiction suprême. Celui ci, du haut de ses 76 printemps, a décidé en son nom propre mais « au nom de tous ceux qui n’ont pas forcément les connaissances juridiques pour mener une telle action » de porter le fer devant le Conseil d’Etat.
Les arguments apportés par Paul de Metairy rejoignent ceux de la FFMC :
- l’insuffisance de motivation de la mesure qui ne se base que sur des supputations pour affirmer qu’une telle baisse des vitesses permettrait d’améliorer l’insécurité routière.
- l’augmentation de la pollution liée au régime moteur insuffisant pour « passer la 5eme » lorsque l’on circule à 80km/h entraînant une hausse de la consommation d’essence
- l’augmentation du risque routier, en raison de la baisse de vigilance ou l’impossibilité de doubler les poids lourds,
- les préjudices financiers, liée à l’augmentation de la consommation d’essence (cf point 2) et à la perte de temps dans les transports,
- le risque de trouble à l’ordre public, lié au stress de devoir se trainer sur la route, l’impossibilité de dépasser, et l’augmentation des embouteillages qui en découle.
Du coup, la FFMC a décidé de soutenir sa démarche de citoyen engagé (voir le doc ci dessous) et était présente à ses côtés cet après midi.
Tout le développé de cette affaire est là
Le Conseil d’État doit maintenant statuer sur l’affaire, et la décision devrait être annoncée jeudi 26 juillet.